Qui sommes-nous ?
Historique
L’Ordre de la Channe, première confrérie bachique du Valais, est né le 1er décembre 1957, dans le cadre somptueux du Château de Villa à Sierre. La confrérie était issue du brassage et du rassemblement d’idées émises à maintes reprises par des hommes respectueux du bon vin, soucieux de lui rendre hommage et désirant le propager toujours davantage. Son premier Procureur fut le Docteur Henry Wuilloud, un des grands noms de la viticulture valaisanne. Les initiateurs de l’Ordre de la Channe se fixèrent immédiatement des buts ambitieux:
- servir, honorer, célébrer le vin en général et plus particulièrement les vins valaisans;
- mettre en valeur et faire connaître les crus du Haut-Rhône ;
- apporter un appui constant aux initiatives en vue d’une meilleure défense du vin.
Le premier Chapitre général d’automne s’est déroulé le 4 octobre 1958 à l’Hôtel Bellevue à Sierre et permit aux 115 personnes inscrites de passer une journée mémorable. Depuis lors, l’Ordre de la Channe a célébré plus de 250 chapitres, en Valais, en Suisse et dans les quatre coins du globe. L’Ordre de la Channe est membre de la Fédération Suisse des Confréries bachiques et gastronomiques ainsi que de la Fédération Internationale des Confréries bachiques.
Notre Charte
Dès son origine et jusqu’à ce jour, l’Ordre de la Channe a réuni une phalanstère de personnalités exceptionnelles, issues de divers milieux qui ont fait leur – sur la base de la Charte fondamentale – de valoriser le Valais du vin.
Voici la synthèse faite lors de l’assemblée constituante, par le président Edouard Morand, membre de la Commission de travail qui avait élaboré la Charte.
« L’Ordre de la Channe, tel qu’on vous le présente aujourd’hui, est issu du brassage et du rassemblement d’idées émises à maintes reprises dans ce canton par des hommes respectueux du bon vin, soucieux de lui rendre hommage et désirant le propager toujours davantage. On peut même ajouter que l’Ordre de la Channe s’inspire de réalisations concrètes dans notre pays. »
On peut donc affirmer, quelques décennies plus tard, que tous avaient comme point de mire de découvrir et entretenir une formule en étroite harmonie avec les traditions valaisannes où, de tout temps, s’unir avec un sens communautaire favorise l’éclosion d’œuvres d’intense génie.